Dernières infos sur le vaccin H1N1
En résumé: l'analyse de la composition du vaccin confirme sa forte toxicité, avec entre autres la présence de squalène. Le vaccin le plus toxique semble être celui fabriqué par la multinationale américaine Baxter, à tel point qu'il a été refusé par la république tchèque en raison des risques encourus. Même l'OMS reconnait qu’une véritable réaction indésirable au vaccin contre la grippe A est impossible à prévoir. Les gouvernements s'apprêtent donc à exposer délibérément leur population à ces risques, tout en protégeant juridiquement les multinationales qui réaliseront l'opération. Les Etats-Unis ont accordé une totale immunité judiciaire aux firmes pharmaceutiques en cas de plaintes pour les maladies ou les décès que le vaccin pourrait causer. L'origine artificielle du virus se confirme également. Le battage médiatique et gouvernemental autour du moindre cas de H1N1 est également très suspect pour un virus aussi inoffensif que celui d'une banale grippe.
Ce qui est certain est que la réduction de la population mondiale est une priorité de "l'agenda" de l'Elite. A partir de là, les thèses les plus alarmistes se développent en ce moment à propos du vaccin qui serait le vecteur prévu pour réduire la population, en inoculant une bombe biologique à retardement. (un peu comme la mort aux rats qui provoque la mort par hémorragie interne seulement quelques jours après l'ingestion, afin que tous les rats ingèrent le poison sans devenir méfiants à cause de la mort des premiers d'entre eux à en avoir mangé)
Une autre certitude est que le vaccin contre le H1N1 contient des agents chimiques toxiques, comme tous les vaccins préparés avec les méthodes industrielles actuelles. De plus, il a été fabriqué dans la précipitation, sans avoir été testé comme le sont normalement les autres vaccins. Les risques de ce vaccin sont donc plus élevés.
Cependant, si le but était de réduire la population mondiale par empoisonnement, le moyen le plus simple serait de diffuser les poisons dans l'eau et dans l'alimentation industrielle.
Un vaccin ne serait pas le meilleur vecteur car il n'aurait aucun effet dans les régions prioritaires pour le plan de dépopulation, celles où la natalité est la plus forte mais où la pauvreté ne permet pas une vaccination de masse.
Par ailleurs, si on retrace jusqu'à leur source initiale les infos les plus alarmistes à propos du vaccin, on s'aperçoit qu'elles proviennent de groupes d'extrême-droite américains (comme le site American Free Press) qui s'agitent beaucoup depuis l'élection d'Obama. Ils détestent les Démocrates de manière générale, et ils avaient déjà mené une longue campagne de haine contre Bill Clinton lorsqu'il était président. Mais cette fois, ils n'ont pas digéré qu'un Noir ait pu être élu à la Maison Blanche. Ils pensent qu'Obama est le mal incarné, un serviteur de Satan. Des caricatures d'Obama en diable ou en joker circulent avec insistance aux Etats-Unis depuis quelques semaines. Ils pensent aussi qu'Obama est un "socialiste" qui veut imposer une dictature communiste en déclarant la loi martiale, en internant les opposants patriotes dans les camps de la FEMA (qui ont pourtant été construits par l'administration Bush), et en interdisant la possession d'armes à feu afin d'empêcher les bons citoyens américains de se défendre.
Cette diabolisation d'Obama a pris une telle proportion que les ventes d'armes et de munitions ont explosé depuis quelques mois aux Etats-Unis, au point que les fabricants n'arrivent plus à satisfaire la demande. Les revendeurs doivent attendre plusieurs mois avant d'être livrés, contre seulement quelques jours auparavant.
Les peurs sont également amplifiées par la dépression économique, (aboutissement de 20 ans de délocalisations, de précarisation des salariés et d'effondrement du pouvoir d'achat des classes moyennes), par l'endettement public abyssal et la situation de quasi faillite de la moitié des états.
Dans un tel contexte, ces groupes d'extrême-droite pensent que la peur d'un vaccin mortel pourrait être le catalyseur pour déclencher une insurrection contre Obama et un pouvoir fédéral qu'ils ont toujours considéré comme une menace pour la liberté et la prospérité des citoyens. Le risque d'une guerre civile n'a jamais été aussi grand aux Etats-Unis depuis la guerre de sécession.
En conclusion, il faut rester très vigilant sur toute instrumentalisation du H1N1 par nos gouvernements pour suspendre la constitution ou réduire les libertés individuelles. Il faut également s'opposer à une éventuelle vaccination obligatoire car le vaccin représente un risque plus élevé que le virus dont il est censé protéger. Mais il ne faut pas pour autant sombrer dans la peur ou dans la paranoïa en provenance des Etats-Unis.
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